Selon les conclusions de publiées par la présidence grecque, ''Les ministres de l'Environnement ont exprimé leur inquiétude sur le fait que les documents existants de la Convention européenne pour la préparation d'une nouvelle Constitution ne reflètent pas l'acquis environnemental, tel qu'exprimé dans les articles 2 et 6 du présent traité de l'Union [...] Dans leur état actuel, les propositions concernant l'environnement n'ont pas satisfait les ministres présents''
De plus, la ministre française, Roselyne Bachelot, explique que ''si le texte restait dans l'état actuel, il constituerait un recul'', mais précise qu'il lui semblerait ''difficile'' que la Convention puisse ''passer outre à un consensus aussi déterminé'' et ne tienne pas compte des remarques exprimées dans le projet définitif qui sera présenté les 20 et 21 juin au sommet de Salonique (nord de la Grèce).
Rappelons que la France a commencé le processus d'intégration d'une charte de l'Environnement dans ses textes constitutionnels.