Bilan : l'organisation même du débat public a suscité de nombreuses interrogations et réactions et alors que les acteurs locaux ont souhaité « une décentralisation de la station », le maître d'ouvrage de la refonte de la station, opposé à cette idée n'a pas souhaité revoir sa position. Une décision sera prise d'ici à trois mois. Par ailleurs, les élus locaux et les riverains se sont montrés très réticents à accepter l'argumentation de l'urgence de refondre Seine aval pour se mettre en conformité à la Directive Cadre Européenne (DCE) adoptée en 2000. Enfin, eu-delà des interrogations sur la capacité de Seine aval, les questions des nuisances, de l'insertion du projet dans la plaine, de la valorisation des boues et des risques ont été débattues.
Article publié le 25 février 2008