Bretagne Vivante, la Frapna, Graine Ile-de-France ou encore la LPO, autant de structures qui se retrouvent parfois obligées de réduire leurs effectifs ou d'abandonner des missions.
Il est vrai qu'un contexte de crise plane sur le pays et pourrait justifier ces restrictions. Mais les associations, elles, dénoncent des méthodes brutales qui consistent à couper les vivres sans concertation ni explication. Certaines y voient un dénigrement de leur mission quand d'autres s'estiment punies pour avoir lutté contre des projets d'aménagement controversés parfois soutenus par les régions. Alors fait-il mauvais temps aujourd'hui en France pour les associations de protection de l'environnement ? Pour en débattre, Marie Jo Sader reçoit sur ce nouveau plateau-TV (1) :
Chantal Jouanno Vice-présidente chargée de l'écologie et du développement durable de la région Ile-de-France et sénatrice UDI de Paris |
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Denez l'Hostis Président de France Nature Environnement (FNE), la fédération qui regroupe 3.500 associations sur tout le territoire français |