Les habitants des communes rurales (60 %) et les 18-24 ans (64%) se montrent les plus enthousiastes dans ce domaine. Mode de déplacement alternatif le plus connu (91 % de l'échantillon), le covoiturage séduit 26 % des Français. 11 % des personnes interrogées ont déjà pratiqué le vélo-partage (mise à disposition de vélos pour des trajets en ville).
L'aspect sécuritaire constitue le principal obstacle à l'évolution des comportements. Seul un automobiliste français sur deux s'estime en sécurité lorsqu'il pratique le covoiturage. 73 % des conducteurs interrogés jugent qu'une évolution du code de la route favoriserait le développement des alternatives à l'automobile : double sens cyclable, file réservée au covoiturage et remontée de file pour les deux-roues.
Article publié le 11 septembre 2009