La première phase du projet, destinée à affiner et améliorer le processus de capture et de stockage du CO2 débutera cette année. Elle consistera à lancer des études techniques, à établir les relations entre les différents acteurs et à analyser les dispositions et contraintes réglementaires pour un coût estimé de 12 millions de dollars canadiens soit 7,5 millions d'euros environ. Les phases suivantes, également financées par les partenaires, s'échelonneront sur les cinq années suivantes, les premiers essais devant débuter en 2012.
TransAlta s'est également associée avec l'Institut des énergies renouvelables, de l'environnement et de l'économie (ISEEE) de l'Université de Calgary, afin de quantifier les possibilités de stockage du CO2 dans la région. Les résultats de ces études, attendus en janvier 2009, permettront de disposer d'une évaluation scientifique de la capacité et de la sécurité des sites de stockage potentiels de cette zone où sont implantées plusieurs centrales.
Article publié le 04 avril 2008