Ce jeudi 9 février 2012, Nicolas Sarkozy a confirmé à Fessenheim (Haut-Rhin) qu'il souhaitait poursuivre l'exploitation de la centrale nucléaire alsacienne, rapporte l'AFP.
"On ne la fermera pas cette centrale, il n'en est pas question", a indiqué le président de la République, demandant "pourquoi est-ce qu'on la fermerait pour des raisons politiques ?".
"S'il y avait eu le moindre doute sur la sûreté de la centrale, si les autorités indépendantes avaient pointé la moindre faiblesse sur la centrale, je n'aurais pas hésité une seconde à demander à EDF de fermer Fessenheim", a justifié le chef de l'Etat, ajoutant que "l'Autorité de sûreté nucléaire affirme que les centrales de notre parc présentent un niveau de sûreté permettant de continuer à les exploiter, toutes, y compris Fessenheim".
Les anti-nucléaires reçus par un conseiller
Nicolas Sarkozy estime qu'"on a
Enfin, en marge de la visite présidentielle, Boris Ravignon, conseiller du chef de l'Etat pour le développement durable, a rencontré une délégation représentant six associations anti-nucléaires. La rencontre s'est tenue à la mairie de Heiteren, un village situé à 7 km de Fessenheim.