Située au sein des marais salants, la nouvelle station d'épuration est notamment équipée de trois tours de désodorisation et d'un centre de traitement naturel des boues qui repose sur l'utilisation d'un cocktail de moisissures (souches mycéliennes).
Par ailleurs la station est dimensionnée pour faire face aux variations saisonnières de fréquentation liées au tourisme pour 95.000 équivalent-habitants l'hiver et 180.000 équivalent-habitants l'été, souligne Stereau.
Le montant de l'opération s'élève à 20 millions d'euros HT, financé à 60% par Cap Atlantique, les 40% restant par l'Agence de l'Eau Loire Bretagne.