Après déshydratation des boues digérées, deux lignes d'incinération permettent actuellement de brûler environ la moitié des boues reçues, indique Veolia Eau. Selon le communiqué, le contrat de conception et de construction concerne la ''phase 2'' de modernisation du site, à travers le remplacement des filtres-presses à plateaux existants, l'augmentation de la capacité de déshydratation mécanique des boues par l'apport de centrifugeuses d'une capacité de 86.724 tonnes de matières sèches par an et l'ajout d'un troisième incinérateur autothermique d'une capacité de 45.600 MS par an. Le projet comprend également des installations de mélange de boues, des unités de traitement du centrifugat, la mise en oeuvre de technologies pour le contrôle des odeurs, associées à la construction des bâtiments et des travaux de génie civil, souligne Veolia Eau. L'achèvement des travaux est prévu au printemps 2010.
Article publié le 13 novembre 2007