En tant que producteur de béton et de granulats, CEMEX est dépendant de l'extraction de ressources minérales. Nous cherchons la sobriété "matière". Le béton est un matériau facilement recyclable : nos plateformes traitent les déchets de démolition et fournissent ainsi des granulats issus du recyclage. Nous valorisons aussi les terres excavées issues des chantiers d'infrastructures.
En France, CEMEX développe une approche globale de l'économie circulaire, nommée CEMEX CIRCLE. Nos sites de production sont optimisés en termes de bruit, poussières, consommations d’eau, et même d'intégration paysagère. Nous limitons les besoins de transport en produisant au plus près des chantiers, et intégrons le fluvial. Enfin, les qualités intrinsèques des bétons mis sur le marché participent à la maîtrise de notre empreinte.
Oui. L’impact environnemental de notre activité doit s’apprécier en incluant la durée de vie du bâtiment construit. Nos bétons isolants ou à faible teneur en CO2 seront utilisés pendant une centaine d’années, avant d’être démolis puis recyclés. Ils autorisent une très bonne performance des bâtiments. Parmi les innovations marquantes, je pense à notre gamme Vertua® qui réduit jusqu’à 60% l’impact carbone du béton. Associé à un système de compensation, on peut même atteindre la neutralité carbone. Le bâtiment durable, c’est notre métier !
Dans un contexte où la commande publique doit impulser la transition environnementale, CEMEX accompagne les collectivités pour qu’elles s’approprient les atouts du “produit” béton. Outre les bétons isolants ou bas-carbone, nous avons une offre de bétons clairs pour lutter contre les îlots de chaleurs. Nous maîtrisons aussi les mises en oeuvre compatibles avec la perméabilité des sols. Nos formulations et l’efficacité des différents services logistiques garantissent, par ailleurs, des chantiers rapides et de moindres nuisances pour les riverains… Nous devons le faire savoir.
Au niveau mondial, CEMEX a pour objectif de réduire de 35% ses émissions carbone d’ici 2030, par rapport à 1990. En Europe, l’objectif est fixé à -55%. Voilà d’autres arguments convaincants.