C’est la durée de fonctionnement pour la fourniture d’électricité des deux dernières centrales à charbon françaises, Émile-Huchet et Cordemais, du début de l’année au 2 février. Un recours rendu nécessaire par l’arrêt d’une dizaine de réacteurs nucléaires associé à un prix du gaz élevé. Le plafond actuel d’émission de GES autorisé pour ces installations devrait être relevé par
décret. Leur durée de fonctionnement maximale autorisée atteindrait ainsi quelque 1 000 heures sur les deux premiers mois de 2022 et 600 heures sur le reste de l’année, contre environ 700 heures annuelles précédemment.