C’est la part de comptes Twitter qualifiés de « climatosceptiques » ou « dénialistes » parmi tous ceux abordant régulièrement, en France, la problématique climatique. Selon un
rapport publié le 13 février par des chercheurs de l’Institut des systèmes complexes du CNRS, cela représente un peu plus de 10 000 comptes diffusant des opinions « climatosceptiques » depuis l’été 2022. Et leur activité (le nombre de tweets) a été multiplié par six en un an, principalement en réaction de la COP 27, la sécheresse et de la crise énergétique selon David Chavalarias, principal auteur du rapport interrogé par
Le Monde.