C'est le nombre de
réacteurs nucléaires qui ne devraient pas redémarrer avant le mois de janvier, selon
Reuters. Ce retard serait lié aux délais d'instruction des dossiers et des contraintes techniques, a expliqué l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à l'agence de presse. EDF n'aurait pas envoyé, mi-novembre, les compléments d'information attendus par l'ASN. Or, celle-ci a besoin d'un mois pour donner son feu vert au redémarrage des réacteurs, et cette opération nécessite quinze jours. Interrogé par Reuters, l'exploitant confirme son
calendrier initial.