C’est la baisse de la concentration en
particules ultrafines (inférieures à 100 nm) dans l’air de Paris pendant le confinement, selon les mesures d’Airparif. Cette baisse est encore plus importante sur la gamme des particules ultrafines les plus petites, à savoir inférieure à 20 nanomètres, avec une baisse de l’ordre de 50 %. Ces particules sont émises en ville par le trafic routier et aérien ; une potentielle contribution agricole ou industrielle est encore peu documentée. Elles ne sont actuellement pas réglementées dans l’air ambiant, et il n’existe pas de valeur de référence.