C’est le nombre d’activistes défenseurs de l’environnement qui ont été tués en 2019 à travers le monde, selon le rapport publié, ce mercredi 29 juillet, par l’ONG
Global Witness. Ces victimes sont décédées pour «
avoir défendu pacifiquement leurs maisons et s'être opposées à la destruction de la nature ». Plus de la moitié des meurtres signalés l'année dernière se sont produits dans seulement deux pays :
« la Colombie (qui détient la palme avec un triste record de 64 assassinats) et les Philippines (un nombre en hausse, passant de 30 assassinats en 2018 à 43 en 2019) », alerte l’ONG.
En moyenne, quatre défenseurs
« ont été tués chaque semaine » depuis l'accord de Paris sur le climat en décembre 2015.