''Nous voulons que les conditions d'autorisation soient musclées. On voit bien le piège de la proposition qui consiste à détendre tout le monde en laissant chacun faire ce qui lui plait pour faire oublier la décision de 2008, a confié Jean-Louis Borloo à l'AFP à l'issue de la réunion. Les Vingt-Sept se sont mis d'accord à l'unanimité en décembre 2008 sur ce sujet, or la Commission n'a rien fait depuis, elle a même autorisé la culture de la pomme de terre modifiée Amflora. Nous considérons que, en l'état actuel, le système n'est pas suffisamment rassurant''.
Jean-Louis Borloo a obtenu vendredi le soutien d'une dizaine de ses partenaires pour contraindre la Commission de modifier sa proposition.
Article publié le 14 juin 2010