Pour ce faire, la fédération des entreprises de transport routier (camions, autobus, autocars et taxis) prévoit d'investir dans des moteurs ''innovants'' et des technologies ''les plus récentes'' en matière de véhicules, de former les conducteurs, de développer les systèmes de transport intelligents (STI) et d'optimiser les poids et les dimensions pour les véhicules commerciaux lourds, permettant ainsi de réduire respectivement la consommation de carburant et les émissions de CO2 de plus de 10 %.
Les associations membres de l'IRU appellent notamment les constructeurs de véhicules, fabricants de pneumatiques et fournisseurs d'énergie et d'outils télématiques à fournir des systèmes interopérables et recourir aux dernières technologies d'innovation ''telles que des matériaux de construction plus légers et un design aérodynamique, même avant que leur usage ne devienne obligatoire''. La fédération les exhorte également à ''remplacer les carburants fossiles par des sources d'énergie alternatives ou des carburants renouvelables ayant un bilan carbone neutre dans le but de réduire, dans l'absolu, les émissions de CO2 produites par le secteur des transports routiers de manière drastique''.
Article publié le 09 novembre 2009