Jugé ''hors de prix et inutilisable'' (le coût du projet a été récemment réévalué à 15 milliards d'euros), ce projet menace ''de nombreuses recherches autrement plus importantes'', expliquent-ils. Selon eux, contrôler la fusion nucléaire est un ''rêve ancien'' qui se heurte à plusieurs difficultés : maintenir le plasma à l'intérieur de l'enceinte, produire du tritium en quantités industrielles et inventer des matériaux pour enfermer ce plasma. L'Europe ferait mieux de reconstruire une centrale nucléaire de quatrième génération, estiment-ils.